Dimanche, Seb qui trouve qu'il se ramolli, voulait faire du sport. Alors je lui ai proposé d'aller au château de Versailles, mais en vélo. Il existe une course à pied qui s'appelle le Paris-Versailles et qui fait 16 km, et 16km, à vélo, ça devrait se faire les doigts dans le nez. Comme il n'a pas dit non, et bien on s'est décidé pour le faire. Seulement dimanche matin, première noise, le réveil n'a pas sonné. Pfou, voilà, pour une fois qu'on décide un "vrai" truc un tout petit peu organisé, ça commence de travers...
Bon, on arrive tant bien que mal à préparer les sandwichs, et on recherche le parcours pour y aller; Et là Seb trouve sur internet un trajet qui semble super plus chouette que le trajet "Paris-Versailles" de la course à pied, puisqu'il nous fait traverser le bois de Boulogne, la forêt de Saint Cloud, la forêt de Meudon, et ça semble vraiment sympa. Bon, sans imprimante, on écrit vaguement les indications sur un bout de papier, et puis on part.
On est allé louer des vélos chez un loueur sympa, d'ailleurs il s'appelait "paris à vélo, c'est sympa". On a repris les quais de Seine, mais pas sur les mêmes rives que la semaine dernière.
Et puis on est arrivés au bois de Boulogne en 30 min. Là, on s'est un peu perdus (ça commence...). On voulait traverser la Seine sur une passerelle, mais nos indications nous disaient de traverser tout le bois de Boulogne, alors qu'en fait la passerelle elle était à l'opposé. Enfin, finalement on l'a vue de loin, depuis le mauvais pont sur lequel on était, et on a réussit à y aller.
Et là, après la passerelle, ça se corse. Nos indications sont super pas claires, on n'a pas de plan... on a finalement traversé tant bien que mal la petite ville de Saint Cloud, et on s'est retrouvé comme deux abrutis en plein milieu du domaine dominical de la forêt de Saint Cloud (domaine par ailleurs magnifique). Elle est super grande cette forêt, et puis on a trouvé des panneaux qui indiquaient Versailles. Alors on les a suivi, sans se préoccuper de nos indications, OH grosse erreur...
Du coup on est ressortit du bois pour se retrouver sur une grande route, sans avoir aucune idée de là où on était. On était supposé rejoindre un petit village, "marne la coquette". Bon, du coup je suis allée demander à des gentils randonneurs par où était ce village. Ce qui nous a permis de traverser un autre bout de forêt (dont une bonne partie à pied, parce que nos petit vélos de ville, hein, ils étaient moyens la dedans...).
On a finalement trouvé le village, assez pittoresque mais très mignon.
De là on devait rejoindre la route de Versailles. Mais on a encore pas mal tourné avant de la trouver. Et puis il commence à pleuvoir, et puis ça fait 3h qu'on roule, et puis il fait froid, et puis j'ai faim, et puis.... Bon, Seb prend pitié, et au milieu de la route qui est supposée mener à Versailles, comme on est en plein bois, on s'arrête pour MANGER.
Après avoir un peu tourné dans la ville même de Versailles, nous arrivons ENFIN au château. Il est 15h30 ou pas loin, ça fait 4h qu'on roule, bon, la petite balade ne devait pas faire seulement 16km, ou alors on est vraiment des brêles...
En sortant du château, il pleut des cordes, génial. Seb me demande si, dans mes plans, je n'avait pas par hasard prévu de rentrer en RER... ? Ben non, c'est pas trois gouttes de pluies qui vont nous empêcher de rentrer à vélo, non mais !!! non, le retour était prévu par la route justement de la course à pied, donc cette fois c'est sûr, on en a pour 16km, donc un peu plus d'une heure. Plein de courage et d'énergie, nous repartons, d'ailleurs il ne pleut plus.
On a là encore suivit des jolies routes, mais le Paris-Versailles ne doit pas être une course facile, sans déconner, il y a de sacrés dénivelés, et ça n'arrête pas.
On finit par rejoindre Paris, après un passage pas top le long des quais d'Issy. Et là, c'est le torrent qui nous attend...
On avait réussi à ne presque pas sentir les gouttes, à oublier qu'il pleuvinait, mais là, c'est plus possible. On arrive finalement chez le loueur dégoulinants, mouillés jusqu'au slip (enfin, en ce qui me concerne), et littéralement gelés.
Voilà, Seb est content, il a super mal aux cuisses et au c** !!! Et puis finalement, cette balade nous a permis de découvrir qu'il y a encore plein de bois qu'on ne connaît pas dans lesquels aller se balader pas très loin de chez nous !!!
On a profité de ce court weekend pour passer du temps avec Matt et Christelle (et leur deux petits bouts) qui repartent le 24 à Mayotte, et pour fêter les 26 ans de Tom avec une bonne partie de la famille : Fred et Claudia étaient venus de Nice avec Peneloppe, Nicolas était venu avec Jean et Elvire de Toulouse.
Seb devant son gâteau (une célèbre croustade de chez Ribeirou)
maman (qui sourit et ne ferme pas les yeux, miracle !!)
Jean-Michel
Seb', comme le thon, au naturel...
papa, en grande forme
La tablée pour le pic-nic
Et puis on est arrivés au bois de Boulogne en 30 min. Là, on s'est un peu perdus (ça commence...). On voulait traverser la Seine sur une passerelle, mais nos indications nous disaient de traverser tout le bois de Boulogne, alors qu'en fait la passerelle elle était à l'opposé. Enfin, finalement on l'a vue de loin, depuis le mauvais pont sur lequel on était, et on a réussit à y aller.
Et là, après la passerelle, ça se corse. Nos indications sont super pas claires, on n'a pas de plan... on a finalement traversé tant bien que mal la petite ville de Saint Cloud, et on s'est retrouvé comme deux abrutis en plein milieu du domaine dominical de la forêt de Saint Cloud (domaine par ailleurs magnifique). Elle est super grande cette forêt, et puis on a trouvé des panneaux qui indiquaient Versailles. Alors on les a suivi, sans se préoccuper de nos indications, OH grosse erreur...
Après avoir un peu tourné dans la ville même de Versailles, nous arrivons ENFIN au château. Il est 15h30 ou pas loin, ça fait 4h qu'on roule, bon, la petite balade ne devait pas faire seulement 16km, ou alors on est vraiment des brêles...
En sortant du château, il pleut des cordes, génial. Seb me demande si, dans mes plans, je n'avait pas par hasard prévu de rentrer en RER... ? Ben non, c'est pas trois gouttes de pluies qui vont nous empêcher de rentrer à vélo, non mais !!! non, le retour était prévu par la route justement de la course à pied, donc cette fois c'est sûr, on en a pour 16km, donc un peu plus d'une heure. Plein de courage et d'énergie, nous repartons, d'ailleurs il ne pleut plus.