Bon, un peu éblouis peut être...
Nous prenons le ferry pour nous rendre de l'autre coté de la ville. C'est assez rigolo, les mouettes suivent le bateau à la même vitesse, guettant les miettes que les passagers semblent avoir l'habitude de leur donner. Nous avons tout loisir de les observer, puisqu'elles sont en permanence à notre hauteur...
A midi nous lâchons notre nouveau guide, envahissant et très con. Plutôt que d'aller passer deux heures à manger dans un restaurant, nous nous achetons de quoi grignotter chez un des vendeurs de bagels ambulants et partons visiter la mosquée Sainte Sophie, suivant ainsi le programme que nous avaient suggéré nos amis Davis.
Plongée dans le guide
Un vendeur ambulant de maïs grillés, mais les bagels étaient meilleurs (merci Fred pour la photo)
Le reste de la journée nous sommes allés nous faire arnaquer au grand bazar, et acheter des loukoum au bazar egyptien. Nous avons passé une dernière soirée bien chouette avec tous les gens du groupe, parce que le dimanche chacun prenait des avions différents.
Un arbre pour le moins curieux, même si on ne voit pas bien. il s'agit en fait de deux arbres en un, le figuier (à l'intérieur) ayant été greffé dans un épineux.
de retour à l'hôtel nous finissons de ranger nos choses et partons pour l'aéroport...
Puis nous repartons vers Konya, et en chemin nous faisons une pause pic-nique au bord d'un cratère.
Puis nous arrivons à Konya, où nous visitons une jolie mosquée et un musée, décidément ce soir je ne me souvient plus les noms.. . ça reviendra. 
Après avoir dit au revoir au guide, nous montons dans le train pour y passer la nuit... 700km séparent Konya de Istanboul -rectification, il y a à vol d'oiseau 400km entre les deux villes- (la distance entre Paris et Lyon, 2h de TGV pour rappel), le trajet est censé nous prendre 13h, nous en mettrons en réalité 15...
Heureusement nous avons la chance d'être en première classe tout confort, dans un compartiment rien que pour nous deux...
A la redescente on aperçoit les toits jaunes du camps
Descente dans une forêt de résineux (des arbres !!!) jusqu'au camps d'Emli
Arrivée au camps nous trouvons d'impressionnants chiens de bergers. Ils ont autour du coup des colliers avec d'énormes pointes ce qui les rend un peu effrayants, alors qu'ils ont des têtes de nounours. En fait nous apprenons que ces colliers leur servent à se protéger des loups (qui ne peuvent ainsi pas les attaquer au garot).
Pour le déjeuner, nous arrivons dans un chalet et savourons un bon repas du coin, et nous avons droit à une bonne sieste (on n'en avait pas eu depuis la Cappadoce !!)
Le soir, jeu con... dénouage de noeud de main, on n'a jamais réussi (pourtant C'EST FAISABLE !!!)
